Hôtels près de : Aéroport international de Djibouti-Ambouli - JIB, Djibouti

ce qui a plu est que la ville n'est pas bruyante et pas trop d'embouteillage en ville et pour l'accès à l'aéroport . Déplu : il faut avoir de très nouveaux et bien dressés de billets de dollars pour qu'ils soient acceptés . Sinon refusé. Pareil pour l'Euro . L'Euro n'est pas trop utilisé . Il vaut mieux faire les échanges en devises avant d'arriver .Les taxis pratiquent les prix à la tête . Il est aussi bon de louer un véhicule pour bien circuler et ne pas être à la merci des coûts exhorbitants des taxis . Il fait très très chaud dans la période de l'été . La douche n'a pas d'eau froide . l'eau est chaude au départ . D'ou un seul robinet . Un restau près de l'hotel mais pas de restau à l'hotel . Par contre , le restau peut livrer les plats . pas d'alcools dans tout Djibouti et pas possible de le boire dans l'hotel ; les gens sont gentils mais impénétrables . pour leur caractère religieux.

Magnifique mélange de culture, de cuisine, de senteur. Très belles population avec une grande gentillesse. C'est propre et éclairé et sécurisant. Grandes base militaire d'où la sécurité.

Paradis sur la terre c'est DJIBOUTI!! je vous conseil d'aller voir, des peuples tres chalereux souriants :)

Les gens qui vous accompagnent =guident ,même contre petit pourboire. Mais leurs renseignements sont justes et précieux. Excursion agréable au lac ASSAL. Restaurant:Pizzaloïo vers place MÉDÉNI(centre ville de Djibouti-ville).

Les anciens quartiers sont plutôt délabrés, les quartiers périphériques sales. Les grandes et larges avenues ne poussent pas à la marche. La présence de la mer n'est pas assez exploitée. La place du marché est par contre très colorée, toujours en mouvement. La population est très gentille, charmante. Il faut manger local. Le poisson à la yemenite est un délice. Le restaurant de la mer rouge est très bon et l'accueil y est très agréable.

J'ai été frappé par le contraste entre la blancheur éblouissante du lac Assal et le noir profond du basalte du volcan Ardoukoba. La vision concrète du rift et de ses fumerolles est aussi un grand moment. La gentillesse des nomades et de la population est un peu terni par le manque criant d'éducation, la consommation de Khat et l'insuffisance des équipements. Comment la misère est-elle possible à ce point dans ce pays ou la planète parait s'être donné RV pour financer des projets et installer des bases militaires ? Les prix m'ont paru aussi élevés qu'au Émirats sans que la qualité des services offerts ne soit comparable.